Page 62 - OPTL - Rapport National
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Répartition des bénéficiaires en emploi,
ou avec une promesse d’embauche, en fonction de leur secteur d’activité
21 % Transport de marchandises 70 % des bénéficiaires en emploi (y compris intérimaires)
9% et logistique (CCNTR) d’un cofinancement de l’AFT, ou avec une promesse
Transport de personnes d’embauche, sont employés dans des entreprises qui ne
67 % (CCNTR) relèvent pas de la convention collective des transports
3% Transport de personnes routiers et activités auxiliaires du transport.
(Hors CCNTR)
Source : AFT
Autres (compte propre
et intérim)
ZOOM SUR LES FORMATIONS DE CONDUITE
L’AFT a mené en septembre 2019 des enquêtes auprès des bénéficiaires des formations de conducteurs qu’elle
cofinance et des entreprises qui ont recruté des conducteurs. Ont répondu :
• 172 bénéficiaires de l’aide à la personne de l’AFT en formation en septembre 2019 (FIMO et titres professionnels)
• 2 685 bénéficiaires sortis de formation en 2018
• 2 46 entreprises de transport routier de marchandises et voyageurs.
Il en ressort notamment que :
• L ’entourage (famille, amis) est à l’origine de la moitié des vocations de conducteurs routiers. Le monde
professionnel joue également un rôle important pour faire découvrir ce métier : plus d’un tiers des personnes
en formation l’ont découvert grâce à des collègues, à d’autres conducteurs rencontrés sur le lieu de travail, ou
encore à un employeur.
• Les formations FIMO et TP conducteur(trice) sont majoritairement suivies dans le cadre d’une reconversion
professionnelle (notamment par des conducteurs livreurs et des opérateurs logistiques). Elles présentent pour
plus d’un tiers des formés une opportunité d’évoluer professionnellement. Elles sont également perçues comme
offrant de meilleures chances d’améliorer l’employabilité et de décrocher un emploi (31% des répondants). Deux
répondants sur cinq disent s’y orienter par passion ou vocation pour le métier de conducteur routier.
• L e principal attrait du métier tient à l’autonomie à laquelle il est associé : près des trois quarts des répondants
sont attirés par le fait d’avoir de l’autonomie lorsqu’ils seront conducteurs routiers. La rémunération dans le
transport est également perçue comme attractive par plus d’un tiers des répondants.
• 5 7 % des formés ont pour partie appris dans une salle multimédia/informatique et 38 % des répondants ont été
amenés à utiliser des simulateurs pédagogiques de conduite pendant leur formation.
• P lus d’un quart des personnes en poste considèrent que des compétences leur manquaient pour être performants
dès leur prise de poste. À l’issue de leur formation, des conducteurs de véhicules de transport routier de
marchandises peuvent ainsi être confrontés à des difficultés pour manipuler le chronotachygraphe, atteler/
dételer, bâcher/débâcher, arrimer différents types de marchandises, ou encore manœuvrer un hayon élévateur.
Pour les conducteurs de véhicules de transport routier de voyageurs, ce sont surtout les aspects réglementaires
qui seraient à perfectionner.
• Quasiment tous les employeurs mettent en place un process d’intégration des nouveaux conducteurs routiers dans
l’entreprise : le plus souvent, le nouveau conducteur est placé en double avec un conducteur plus expérimenté.
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Répartition des bénéficiaires en emploi,
ou avec une promesse d’embauche, en fonction de leur secteur d’activité
21 % Transport de marchandises 70 % des bénéficiaires en emploi (y compris intérimaires)
9% et logistique (CCNTR) d’un cofinancement de l’AFT, ou avec une promesse
Transport de personnes d’embauche, sont employés dans des entreprises qui ne
67 % (CCNTR) relèvent pas de la convention collective des transports
3% Transport de personnes routiers et activités auxiliaires du transport.
(Hors CCNTR)
Source : AFT
Autres (compte propre
et intérim)
ZOOM SUR LES FORMATIONS DE CONDUITE
L’AFT a mené en septembre 2019 des enquêtes auprès des bénéficiaires des formations de conducteurs qu’elle
cofinance et des entreprises qui ont recruté des conducteurs. Ont répondu :
• 172 bénéficiaires de l’aide à la personne de l’AFT en formation en septembre 2019 (FIMO et titres professionnels)
• 2 685 bénéficiaires sortis de formation en 2018
• 2 46 entreprises de transport routier de marchandises et voyageurs.
Il en ressort notamment que :
• L ’entourage (famille, amis) est à l’origine de la moitié des vocations de conducteurs routiers. Le monde
professionnel joue également un rôle important pour faire découvrir ce métier : plus d’un tiers des personnes
en formation l’ont découvert grâce à des collègues, à d’autres conducteurs rencontrés sur le lieu de travail, ou
encore à un employeur.
• Les formations FIMO et TP conducteur(trice) sont majoritairement suivies dans le cadre d’une reconversion
professionnelle (notamment par des conducteurs livreurs et des opérateurs logistiques). Elles présentent pour
plus d’un tiers des formés une opportunité d’évoluer professionnellement. Elles sont également perçues comme
offrant de meilleures chances d’améliorer l’employabilité et de décrocher un emploi (31% des répondants). Deux
répondants sur cinq disent s’y orienter par passion ou vocation pour le métier de conducteur routier.
• L e principal attrait du métier tient à l’autonomie à laquelle il est associé : près des trois quarts des répondants
sont attirés par le fait d’avoir de l’autonomie lorsqu’ils seront conducteurs routiers. La rémunération dans le
transport est également perçue comme attractive par plus d’un tiers des répondants.
• 5 7 % des formés ont pour partie appris dans une salle multimédia/informatique et 38 % des répondants ont été
amenés à utiliser des simulateurs pédagogiques de conduite pendant leur formation.
• P lus d’un quart des personnes en poste considèrent que des compétences leur manquaient pour être performants
dès leur prise de poste. À l’issue de leur formation, des conducteurs de véhicules de transport routier de
marchandises peuvent ainsi être confrontés à des difficultés pour manipuler le chronotachygraphe, atteler/
dételer, bâcher/débâcher, arrimer différents types de marchandises, ou encore manœuvrer un hayon élévateur.
Pour les conducteurs de véhicules de transport routier de voyageurs, ce sont surtout les aspects réglementaires
qui seraient à perfectionner.
• Quasiment tous les employeurs mettent en place un process d’intégration des nouveaux conducteurs routiers dans
l’entreprise : le plus souvent, le nouveau conducteur est placé en double avec un conducteur plus expérimenté.
